is born (and stuck) in 1994, Arch. Dipl. EPFL (2021).
Navigates between art, architecture, illustration, furniture and web design. Tries to be imaginative no matter the field.
Develops "Moratorium." as a personal approach since 2017, researching ways to conceive an architecture that solely develops within existing buildings.
Hands-on, always happy to leave the screen and hop into modification work.
Collects swatches and dvds, amongst other objects considered as obsolete today.
is born in 1995, Arch. Dipl. EPFL (2021).
Deeply invested in the social and theoretical aspects of architecture, always trying to materialize theories into meticulous models and drawings to bridge the gap between physical and mental production.
Especially interested in the way space constructs gender and identities.
Fascinated by Swiss post-modern design and mineral patterns.
Collector of shiny raincoats and other weird things like PEZ distributors and Harry Potter Legos.
Entre 1906 et 1908, les origines gallo-romaines de Villaz-Saint-Pierre furent découvertes, notamment grâce à la mise à jour d’un cimetière au bord de la Glâne. Parmi d’autres artefacts, de nombreux outils y furent retrouvés.
120 ans plus tard, la Glâne coule toujours et d’autres outils vont être utilisés sur ses rives, cette fois-ci au coeur d’un centre d’enseignement professionnel.
Ces nombreux outils ont tous un point commun : ils représentent l’une des capacités humaine les plus significative, celle de modifier l’existant pour l’adapter à ses besoins.
L’existant à Villaz-Saint-Pierre, c’est notamment le bois, présent en masse dans les forêts de la Glâne et exploité depuis toujours. L’entier des forêts du district sont d’ailleurs gérées par une Corporation basée dans la ville voisine de Romont.
Le projet s’inspire de ces éléments forts de l’identité du lieu et propose l’introduction d’un rite de passage pour les apprentis du campus.
Un tronc de douglas issu d’une forêt voisine, ébranché, est mis en scène sur la place publique, à l’entrée du bâtiment. Il est délicatement soutenu, à l’horizontale, par de fines béquilles en acier.
La consigne est simple : à l’aide des outils et techniques liées à leurs professions, les apprentis peuvent intervenir sur ce tronc, lors de leurs derniers jours dans le centre.
Pour certaines professions, liées naturellement au travail du bois, les interventions seront aisées. Pour d’autres, il faudra faire preuve d’imagination et détourner l’usage habituel de leur outils. Ces interventions pourraient même faire l’objet d’un cours particulier donné par les moniteurs qui le désirent.
Ces gestes, accumulés au fil des années sur ce medium unique, seront à la fois la trace de tous ceux formés dans l’école et le résultat non-planifié d’une collaboration éclectique, entre des professions qui ne seront peut-être plus jamais amenées à travailler ensemble.
Par la subsistance des gestes dans le temps, l’oeuvre pousse également les apprentis à se questionner sur les contraintes liées aux ressources partagées, sujet crucial pour ceux qui, au travers de leur future pratique, auront un impact majeur sur l’utilisation de celles de leur région.
Le apprentis ont donc la responsabilité d’intervenir de manière sensible sur le tronc, sans pour autant qu’un quelconque contrôle ne soit appliqué. Les transformations, substitutions, restaurations, adjonctions s’accumuleront, jusqu’au moment où il ne restera probablement de cette oeuvre que les outils qui l’ont créée.
Comme ceux retrouvés en 1908, au bord de la Glâne.
Entre 1906 et 1908, les origines gallo-romaines de Villaz-Saint-Pierre furent découvertes, notamment grâce à la mise à jour d’un cimetière au bord de la Glâne. Parmi d’autres artefacts, de nombreux outils y furent retrouvés.
120 ans plus tard, la Glâne coule toujours et d’autres outils vont être utilisés sur ses rives, cette fois-ci au coeur d’un centre d’enseignement professionnel.
Ces nombreux outils ont tous un point commun : ils représentent l’une des capacités humaine les plus significative, celle de modifier l’existant pour l’adapter à ses besoins.
L’existant à Villaz-Saint-Pierre, c’est notamment le bois, présent en masse dans les forêts de la Glâne et exploité depuis toujours. L’entier des forêts du district sont d’ailleurs gérées par une Corporation basée dans la ville voisine de Romont.
Le projet s’inspire de ces éléments forts de l’identité du lieu et propose l’introduction d’un rite de passage pour les apprentis du campus.
Un tronc de douglas issu d’une forêt voisine, ébranché, est mis en scène sur la place publique, à l’entrée du bâtiment. Il est délicatement soutenu, à l’horizontale, par de fines béquilles en acier.
La consigne est simple : à l’aide des outils et techniques liées à leurs professions, les apprentis peuvent intervenir sur ce tronc, lors de leurs derniers jours dans le centre.
Pour certaines professions, liées naturellement au travail du bois, les interventions seront aisées. Pour d’autres, il faudra faire preuve d’imagination et détourner l’usage habituel de leur outils. Ces interventions pourraient même faire l’objet d’un cours particulier donné par les moniteurs qui le désirent.
Ces gestes, accumulés au fil des années sur ce medium unique, seront à la fois la trace de tous ceux formés dans l’école et le résultat non-planifié d’une collaboration éclectique, entre des professions qui ne seront peut-être plus jamais amenées à travailler ensemble.
Par la subsistance des gestes dans le temps, l’oeuvre pousse également les apprentis à se questionner sur les contraintes liées aux ressources partagées, sujet crucial pour ceux qui, au travers de leur future pratique, auront un impact majeur sur l’utilisation de celles de leur région.
Le apprentis ont donc la responsabilité d’intervenir de manière sensible sur le tronc, sans pour autant qu’un quelconque contrôle ne soit appliqué. Les transformations, substitutions, restaurations, adjonctions s’accumuleront, jusqu’au moment où il ne restera probablement de cette oeuvre que les outils qui l’ont créée.
Comme ceux retrouvés en 1908, au bord de la Glâne.
In a time when we know that exponential growth can only lead to a global disaster, what should architecture become?
How can architects cope with a profession that, by serving the population, is at the core of one of the most waste-producing and polluting industries, thus hurting the population?
detritus. is a multiple practice which – through texts, drawings, models, installations,performances, competitions, objects, education & more – playfully navigates this challenging context while seriously investigating the following themes:
moratorium. the only sustainable architecture is the one that solely reuses thepre-existing urban fabric - both physical and social. To be truly resilient, the city of tomorrow must develop within the buildings of yesterday.
detritus. was nominated for the 2024 Foundation Award with the project SECOND BREAKFAST.
Claire Logoz was happy to be invited by Fala to "The Decorative" studio reviews, at HEAD Geneva.
GUM GUM was exhibited at the 2024 Swiss Art Awards. detritus. welcomed 35 artists, curators, gallerists, architects, and friends to spend a curious night at the museum, using a space usually vacant at night.
detritus. enjoyed a nice discussion with associati talks, the podcast can now be watched online.
detritus. was happy to be invited by collectif vendredi and ressources urbaines for the first event of the ex-materia series. The future of a rationalist building within the industrial carouge district was discussed around 3 small installations, questionning standard domestic spaces VS industrial generosity.
detritus. answered a short Q&A for the latest PROVENCE newsletter !
detritus. is happy to be invited by the F'AR (Le Forum d'architectures Lausanne) to speak about temporary empty spaces in the city, and how to mediate their use. Join us on Tuesday 24.10 for a roundtable, together with Marie Trossat (LASUR, EPFL), Matteo Rezzonico et Marion Stucky (ALJF), Lorette Coen (FICA).
Bastian Marzoli and Claire Logoz are happy to both be leading a bachelor year 1 studio in this year's RESONANCE PLANES program, within ALICE Laboratory.
detritus. has been awarded the 2023 Swiss Art Award in the architecture category ! Congratulations to all inspiring fellow finalists and laureates.
Bastian Marzoli will be moderating a discussion about collective practices for SIA Vaud, together with Fabien Oulevay. Guests: la-clique, Offset, Constructlab.
Bastian Marzoli was invited as a speaker for the roundtable "Matière grise - matière première" moderated by Séverin Guelpa.
Claire Logoz is invited by the CHO (Centre Chorégraphique Ouvert à tous.x.tes) to take part to the GRAVITY, INERTIA, IMPULSION performance at the FLUX LABORATORY in Geneva !
Claire Logoz was invited by RECYCLART (Brussels) to take part to the table ronde STADPLURAAL: Deux chambres, cuisine, salle de bain !
detritus. is excited to be 1 of 5 finalists for the 2024 Swiss Art Awards, in the architecture category.
detritus. is happy to design the exhibition "DO YOU HAVE A MINUTE TO TALK ABOUT SCIENCE?"
detritus. was happy to be invited as guests for Alice's "Measures" review,
detritus. is exhibiting its installation "THANKSSS" in the Vitrines du Petit-Saint-Jean in Lausanne. Open 24/7 until January 2023,
"Catalogue non exhaustif d'altérations performatives" is featured in the "Des corps dans la ville : architectures, féminismes et espaces construits" exhibition at the Maison de l'architecture in Paris.
The semester has started for SUPERSTUDIO LATENT FUTURES, in which detritus. is grateful to participate as studio leaders.
detritus. is happy to take part in "Planète Limite, l'urbanisme de la quinzaine avec les acteurs de demain". Join us for a movie night, September 30th at 8.00 pm!
Bastian Marzoli was a finalist for the artistic intervention on the future ACPC campus in Villaz-St-Pierre, with the project "ONE MUST ADAPT ONESELF AT THE TOOLS AT HAND".
Claire Logoz was invited to present her research at the symposium "Lecture queer/féministe de l'espace" that took place at the University of Chicago Center in Paris.
Claire Logoz took part to the "Musterhaus" table ronde on the limits between public and private space at Le Cabanon with Céline Masson, Julie Lang and Alexandra Ecclesia.
detritus. was awarded the fifth prize for its entry to the EMS Boissonnet competition.
detritus. was happy to be included in apropå X HEAD MAIA exhibition "RE-PENSER".
The Mita Krafft-Gloria prize was awarded to Claire Logoz.
detritus. was happy to take part in ALICE's "Rooms" review.
detritus. will design and build an on-site intervention for Artichoke Festival, together with Simon Deppierraz and Hugo Pachoud.
"Mambo Minigolf" was selected as 1 of 11 projects to be exhibited during the group show and urban exploration.
"Bref Alignement" was awarded the first prize in the "Frontières et Eau" competition.
"Escamotages" was awarded a mention in the Project Room Competition.
The Orlando Lauti Prize was awarded to Claire Logoz.
"Moratorium." was awarded one of 4 Prix SIA Vaud 2021.